Dans le Journal de fête du Tir fédéral de Fribourg en 1934, Alfred Collomb avait publié un article sous le titre “Fribourg il y a soixante ans”. Cela nous ramène donc aux environs de 1870. Voici un extrait de cet article.

« Oh ! cette Terrasse qui avait succédé aux échoppes malodorantes des « cordouanniers » et des tanneurs de la Halle aux draps, elle était vraiment le domaine réservé de tous les bambins et bambines du Bourg (…). Sur l’asphalte bordée de balustres et flanquée au coin de la maison Diesbach d’une laide cheminée d’usine dont le soubassement nous servait de manège, la succession des saisons ramenait, suivant un rythme invariable, les jeux obligés et quasi rituels : le saut à la corde, le tzéna, le gukeis, le saute-mouton, la « semaine » où, après des évolutions strictes et compliquées à cloche-pied, on aboutissait, un caillou sur la chaussure, en plein « dimanche » ou en « paradis ». Les billes jouaient aussi un rôle prépondérant dans nos jeux, et c’était à qui exhiberait avec le plus d’orgueil la bille de verre la plus irisée ou « en agathe véritable ». Que de « poletz » (ces frères bolzes des mapis, des ondins et des petits mamelouks genevois) s’allaient perdre dans les chéneaux, où d’intrépides gymnastes de sept ou huit ans les repêchaient, au grand effroi et à l’admiration enthousiaste de leurs compagnes de jeu, pour la plupart élèves comme eux de l’Ecole enfantine de la sévère Mlle Chassot. Du Bletz nous dominions tout le Bourg, nous en étions l’exubérance et parfois la terreur (…) De la Terrasse, quand les agents, attirés par quelque méchante farce dont était victime le marchand de « wecks » et de « biscaumes » des Ormeaux, faisaient mine d’intervenir, nous dégringolions en trombe, et comme une volée de moineaux, nous envahissions la Place de la Grenette, pour nous réfugier, en contournant Notre-Dame, sur l’ancien cimetière caillouteux des Cordeliers»

Le "Bletz" et l'aqueduc du Pont-Muré peu avant sa démolition, d'après un dessin de François Bonnet

Le « Bletz » et l’aqueduc du Pont-Muré peu avant sa démolition, d’après un dessin de François Bonnet

En tirant la sonnette de la Maison d’Ammann à la Grand Rue 59 durant le week-end des 5 et 6 novembre prochains, Elisabeth Ory vous ouvrira la porte pour une visite de cette exceptionnelle demeure patricienne construite vers 1750, entièrement rénovée et inscrite à l’inventaire suisse des biens culturels d’importance nationale.

La visite débute à la cave voutée où l’on aperçoit les fondements d’une bâtisse antérieure datée de l’époque de la fondation de la ville de Fribourg.

Puis les escaliers vous mènent aux étages supérieurs aménagés en Bed & Breakfast de charme. Chaque pièce a retrouvé ses teintes d’origine, pastel ou intenses. Des poêles d’époques différentes ornent les pièces ainsi que moult petits détails comme cette peinture découverte sur une porte. On dirait Jean-Jacques Rousseau lors d’une de ses promenades solitaires.

Elisabeth Ory désire faire de sa maison un lieu de rencontres. Elle organisera ponctuellement des rencontres auxquelles toute personne intéressée sera cordialement invitée. Le Blog du Bourg vous informera.

Portes ouvertes Maison d’Ammann, Grand-Rue 59: à 11h, 15h et 17h le samedi 5 et le dimanche 6 novembre 2016.

Inscription par mail souhaitée: info(@)fribourg-bnb.ch

http://fribourg-bnb.ch/fr/rencontres/portes-ouvertes/

 

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William Turner (1775-1851) peintre, aquarelliste et graveur britannique. Appelé « le peintre de la lumière », Turner fut un voyageur infatigable et véritable « reporter » des paysages qu’il visitait. En route pour Venise vers 1840/41, il était de passage à Fribourg. De ce bref séjour dans notre ville il subsiste un certain nombre d’esquisses et d’aquarelles qui figurent pour la plupart dans la collection de la Tate Gallery de Londres.

http://www.william-turner.org/

William Turner, Fribourg: The Descent from the Hôtel de Ville circa 1841

William Turner, Fribourg: The Descent from the Hôtel de Ville, circa 1841

William Turner,View of Fribourg circa 1841

William Turner, View of Fribourg circa 1841

 

Couleurs d’octobre

26 octobre 2016

Quelques images du quartier glanés durant le mois d’octobre.

Le bas de la Rue de Lausanne

Le bas de la Rue de Lausanne

Les jardins de la Grand-Rue

Les jardins de la Grand-Rue

Le bas de la Route des Alpes, Coutellerie et enseigne de Roger Monney

Le bas de la Route des Alpes, Coutellerie et enseigne de Roger Monney

Fontaine Saint-Georges et Tilleul de Morat (fils)

Fontaine Saint-Georges et Tilleul de Morat (fils)

Caché pendant 40 ans derrière une paroi en bois, le Portail sud de la Cathédrale Saint-Nicolas est enfin visible dans toute sa splendeur après une rénovation qui a durée plusieurs années.

Cet ensemble exceptionnel date de la première moitié du 14ème siècle.

 » Le portail sud se présente entre les contreforts de la deuxième travée: autour de la porte s’élèvent onze statues placées sur des consoles et encadrées de gâbles, surmontées d’une archivolte pourvue de petites statues. Au centre de la composition se tient la Vierge Marie, assise et couronnée, qui tient l’Enfant-Jésus dans une main et un sceptre fleuri dans l’autre; son fils pose une main sur le sceptre et tient dans l’autre une colombe. De part et d’autre s’élèvent, du côté droit, les mages portant leurs présents (tympan) et les saintes Catherine d’Alexandrie et Barbe (jouée du contrefort) et, du côté gauche, saint Nicolas de Myre bénissant et deux des trois jeunes filles qu’il a sauvées et qui portent en main leur dot (tympan), la troisième se trouvant au côté de sainte Marie-Madeleine (jouée du contrefort) . La voussure supérieure de l’archivolte représente Dieu le Père tenant un globe et entouré d’apôtres en buste tandis que la voussure inférieure représente saint Jean le Baptiste portant l’ agneau mystique et entouré de prophètes en buste.

Les statues étaient polychromes et la peinture a été refaite à plusieurs reprises, mais elles sont actuellement au naturel. Le style qui a pu influencer cette statuaire est difficile à définir, de même que le programme iconographique: simple Épiphanie agrémentée des saints protecteurs locaux ou composition plus élaborée faisant appel à l’adoration des mages, au baptême de Christ et aux noces de Cana? »

Description tirée de Wikipédia

Dommage qu’il faille encore attendre de nombreuses années avant de pouvoir admirer ce chef-d’œuvre sans risquer de se faire écraser. Il serait temps de supprimer sans trop tarder l’unique rond-point du monde avec une Cathédrale au centre en rendant la rue du Pont-Suspendu aux piétons.

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Cathédrale Saint-Nicolas, Fribourg: le portail sud (détail)

Du 26 au 29 octobre et du 2 novembre au 6 novembre 2016 le Musée Gutenberg a le plaisir de vous présenter le spectacle « Tinguely Meta Physique », qui met en scène Jean Tinguely et son assistant Seppi Imhof. Ils élaborent une nouvelle machine. Survient un ado, fasciné par Tinguely, qui veut connaître les secrets de sa création. Tinguely va piquer la curiosité du garçon au-delà de ses demandes. Il lui apprendra que le maître en art, c’est lui, qu’il doit se mesurer à ses rêves, « au-delà – meta » de la physique. Les grandes œuvres de Tinguely sont racontées au jeune avec ce comique burlesque, le ton libre de Tinguely qui révèle son humanité.

Du mercredi 26 octobre au samedi 29 octobre 2016 à 20h00
Du mercredi 2 novembre au samedi 5 novembre 2016 à 20h00
Dimanche 6 octobre 2016 à 15h00
Réservations via le site du Musée:
http://www.gutenbergmuseum.ch/fr/accueil/
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Tout le monde connaît le Pinson des arbres Fingilla coelebs, surtout grâce à son chant qui retentit dans presque tous les jardins de fin mars à avril. Cependant, peu de monde ne se doute que ce passereau, oiseau le plus commun de Suisse, est un des migrateurs passant en plus grand nombre sur nos cols alpins et préalpins pendant le mois d’octobre. Ce sont parfois des dizaines de milliers de ces petits fringilles qui sont comptés lors des belles journées à des endroits comme La Berra. Contrairement à son proche cousin, le Pinson du Nord, il ne forme pas d’immenses dortoirs pouvant regrouper plusieurs millions d’individus pendant l’hiver mais se déplace en petits groupes pouvant aller jusqu’à quelques centaines d’individus maximum se nourrissant dans les forêts du pourtour méditerranéen.

Vous verrez donc peut-être déjà quelques pinsons venir se nourrir à votre mangeoire cet hiver avant d’en voir nicher dans votre jardin. Mais vous saurez que ce ne sont sûrement pas les mêmes!

Gilles Hauser

Pinson des arbres - Photo Gilles Hauser

Pinson des arbres – Photo Gilles Hauser

Grison d’origine, Jann Krättli propose sur son stand des légumes et herbes aromatiques bio ainsi que des sirops, gelées, confitures et chutneys.

Tous ces produits proviennent du domaine familial de la compagne de Jann, le Biohof Tannacker à Rechthalten (Dirlaret), spécialisé dans la culture de plantes sauvages.

Tous les détails sur le site (en allemand) de Jann:

http://biohof-tannacker.ch/

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Dans son édition de ce jour, le quotidien La Liberté publie un article sur l’état des falaises qui préoccupe les autorités de la Ville de Fribourg. Par le passé, des pans de falaises se sont détachés à plusieurs reprises en entrainant dans leur chute des immeubles.

Le samedi 2 février 1929, aux premières heures du jour, la nouvelle d’une catastrophe épouvantable boulversait la quiétude de notre bonne ville de Fribourg. En pleine nuit, vers 2 heures du matin, deux maisons de la Place de Notre-Dame, propriétés de M. Helfer, laitier, et de M. Cotting, tailleur, s’étaient brusquement écroulées dans le ravin du Grabensaal.

Un pan de la falaise de molasse s’était détaché sur une longueur d’environ 40 mètres, une hauteur de 25 mètres, et une épaisseur de deux mètres, entraînant la façade postérieure de la maison Cotting ainsi qu’un angle de la maison Helfer. La catastrophe était rendue plus terrifiante par le fait qu’une locataire, Mlle Adèle Zurich, avait été entrainée dans sa chute et gisait ensevelie sous les décombres et les blocs de molasse.

(…)

Nous citons, en terminant, quelques cas d’éboulements semblables qui se sont produits à Fribourg.

Le 2 mars 1723, une grande partie du vieux couvent des Cordeliers était tombée dans le Grabensaal pendant la nuit avec un fracas épouvantable. Le vieux couvent avait été évacué par les Pères quelques années auparavant, en prévision justement d’un éboulement.

27 novembre 1778. Le vénérable chapitre de St-Nicolas représente l’impossibilité où il se trouve de fournir aux frais qui lui sont survenus par l’écroulement de ses maisons proches de la Chancellerie.

3 février 1910. Une partie du rocher qui se trouvait en bordure du jardin du couvent des Capucins s’est détachée sur une longueur d’une centaine de mètres et est tombée dans la Sarine.

Edmond Weber. Nouvelles Étrennes fribourgeoises 1930 (extraits)

L'éboulement du Grabensaal

L’éboulement du Grabensaal

Envie de passer une bonne soirée en musique?

Art Buvette vous propose:

OldRags’ Night Table Blues Show

Jeudi 20 octobre de 18.30 à 22h

Art Buvette, Rue Pierre-Aeby 31

http://www.art-buvette.com/index_art.html

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Petite balade découvertes

16 octobre 2016

Des jardins, des sculptures et des escaliers. Dès l’entrée dans les jardins du Musée, des sculptures de Oscar Wiggli, Bernhard Luginbühl, André Ramseyer et Emile Angéloz, le local de l’étape. Quelques marches mènent dans le jardin proprement dit avec La grande lune de Niki de Saint Phalle. Un petit espace annexe, autrefois fermé au public, vous permet de découvrir des œuvres de Res Freiburghaus et Rico Weber, un ami et collaborateur de Jean Tinguely. N’oubliez pas de jeter un œil dans les jardins du Monastère de la Visitation. Un autre escalier vous mène dans le jardin du Père Girard avec vue sur l’Église des Cordeliers et la tour de la Cathédrale qui est la plus grande « sculpture » de Fribourg. Le dernier escalier dans ce qui semble être un reliquat des remparts vous mène sur le petit sentier qui descend au Grabensaal, le royaume de Hubert le magicien de l’Auge, où d’autres découvertes vous attendent. Bonne balade!

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Un jour de Marché en 1938

15 octobre 2016

En 1938 un spécialiste des questions ferroviaires et collaborateur de l’Union des Paysans fribourgeois, le Dr Georges Hartmann, a consacré une étude à la question: Comment s’effectue le ravitaillement de Fribourg en lait, en beurre et crème, en viande et en pain: par route ou par rail?

Cette petite étude effectuée en collaboration avec la Police locale en pleine période de rationnement et de renchérissement général, donne une idée précise de l’importance du marché à cette époque. Le samedi 17 septembre 1938, 424 personnes sont venues à Fribourg offrir les produits de leur jardin ou de leur basse-cour. A ce nombre impressionnant de paysans il faut ajouter les bancs de 33 bouchers-charcutiers, 11 fromagers, 9 primeurs et 8 boulangers (biscuits et biscômes).

A noter que la majorité des paysans se sont déplacés avec leur char tiré par un cheval, à pied ou en train et une minorité en auto, à vélo ou à moto.

Pour illustrer ce petit intermède historique, nous vous offrons une magnifique photo de Benedikt Rast (1905-1993). Malheureusement cette photo n’est pas datée mais donne une idée de l’ambiance du marché à cette époque.

Sources: Jean Piller, Etrennes fribourgeoises de 1942

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Repas partage

14 octobre 2016

L’endroit, des salles voutées et rénovées du Couvent des Cordeliers, est splendide et l’accueil chaleureux. On se retrouve autour d’une table ronde avec des inconnus. Hasard des rencontres. Présentations faites, la conversation s’engage aussitôt. Le repas composé de salade, hachis parmentier et salade de fruit est simple et très bon. La conversation animée se prolonge autour d’un bon café.

J’ai fait la connaissance de plusieurs personnes et rencontré beaucoup de sourires. Un bon moment d’humanité. A renouveler!

Prochains Repas partage:

Vendredis 28 octobre, 4 et 18 novembre, 2 et 16 décembre 2016 à 12 heures

Caritas Fribourg, les Congrégations religieuses et le Couvent des Cordeliers

Maison Père Girard, rue de Morat 8, Fribourg

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Réouverture du Tunnel

13 octobre 2016

Le mythique Café du Tunnel sera ré-ouvert en janvier prochain. C’est l’association La Tuile dirigé par Eric Mullener qui reprend le flambeau pour en faire un café social et culturel.

C’est une excellente nouvelle pour le quartier du Bourg.

http://www.la-tuile.ch/

Dernière chance…

13 octobre 2016

Dernière chance de découvrir les incroyables découpes papier de

Ueli Hofer

en présence de l’artiste.

Finissage de l’exposition de Ueli Hofer

Samedi 15 octobre à 11h

ouvert de 9h – 12h

Galerie Contraste

Ruelle des Cordeliers 6, Fribourg

http://www.uelihofer.ch/

https://galeriecontraste.ch/

Ueli Hofer

Ueli Hofer

Trocante – Samedi 15 octobre dès 16h

A cette occasion la Coutellerie se transforme en salle de trocs aux enchères! Amenez un objet que vous souhaitez soumettre à
notre commissaire priseur professionnel, spécialement engagé pour
l’occasion!

Concert après la Trocante, à 21h

Venez nombreuses et nombreux
échanger vos babioles et laisser vos corps vibrer et se balancer au son de

Till Sunday Pirate!

https://www.reverbnation.com/tillsundaypirate

La Coutellerie
Espace d’affûtage collectif
Grand-Fontaine 1
Fribourg

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Paysages et natures mortes

13 octobre 2016

Du 15 octobre 2016 au 28 janvier 2017, Forme+Confort expose les photographies de

Jean-Marc Erard

Les photographies qui sont présentées dans cette exposition, sont le fruit d’un lent travail à la chambre photographique traditionnel. Travail sur les natures mortes, les paysages et autres lieux qui me sont propices à la contemplation et à la méditation. Le tirage photographique est là pour prolonger ce regard contemplatif du moment, afin de le partager avec le public. Les techniques utilisées sont, soit anciennes – papier Baryte argentique traditionnel, virages et autres procédés anciens – soit modernes avec impression jet d’encre sur papier Hahnemühle 300g pur chiffon sans acide.

Vernissage samedi 15 octobre 2016 de 13h10 – 16h

Forme+Confort, Rue de la Cathédrale Saint Nicolas 5, Fribourg

http://www.formeplusconfort.ch/

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Hommage à Bruno Baeriswyl

12 octobre 2016

Atelier-Galerie J.-J. Hofstetter

du 14 octobre au 12 novembre 2016

Bruno Baeriswyl – Michel Gremaud – Wolfgang Stifter

Vernissage vendredi 14 octobre 2016 dès 18h

DIMANCHE 23 OCTOBRE 2016 À PARTIR DE 17H

HOMMAGE À BRUNO BAERISWYL

L’Association des Amis de Bruno Baeriswyl propose un apéritif
en hommage à Bruno. Il aura lieu à la Buvette du Tennis du
Groupe-E à la Promenade du Barrage. A cette occasion, une bâche
réalisée dans les années 90 sera suspendue le long du barrage.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Baeriswyl

http://www.galerie-hofstetter.ch/index.php?post/2008/12/05/40-presentation

Bruno Baeriswyl

Bruno Baeriswyl

Michel Gremaud

Michel Gremaud

Wolfgang Stifter

Wolfgang Stifter

Le Bourg, c’est parti!

11 octobre 2016

Lors de sa séance du 11 octobre, le Conseil général de la ville de Fribourg a accepté le crédit d’étude pour la première étape de la requalification du quartier du Bourg avec un score « soviétique ».

Seul regret d’un citoyen lambda: tout cela aurait du se faire dès le début de la construction du pont de la Poya.

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L’épicerie sans emballages Atout Vrac qui ouvre ses portes samedi 15 octobre est une véritable caverne d’Ali Baba.

Cette épicerie sous forme de coopérative sans but lucratif offre un immense choix de produits locaux de qualité et surtout sans emballage ce qui contribue à la diminution des déchets. Très local même comme le prouve la présence des pâtes du voisin Past’Abate ou des tisanes de la Maigrauge.

Pour les produits venant de loin, Atout Vrac opte pour du certifié bio et/ou Fair Trade.

OUVERTURE SAMEDI 15 OCTOBRE

ATOUT VRAC, Grand-Rue 10, Fribourg

mardi – samedi: 8h30 – 12h00 / 13h30 – 18h30

Pour en savoir plus:

http://www.atoutvrac.com/

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